Demain est bientôt là

Pour cette belle rentrée 2021, nous vous proposons de découvrir Circlemade, le cluster bruxellois de l’économie circulaire créé par hub.brussels et les acteurs du secteur.

Ah ? Super !
Mais… Euh… c’est quoi un cluster ? Et c’est qui hub.brussels ?
Et c’est quoi l’économie circulaire ?

OK. Reprenons depuis le début.
Pour commencer… Bonne Année à tous !
Bonne Année, Lively !
Merci.

Et pour le reste, voyons voir.
Ou plutôt voyons lire.


Says the Boss

Pour répondre à toutes ces questions, nous avons eu la chance, pour ce numéro de rentrée, d’interviewer Isabelle Grippa, directrice générale (CEO) de hub.brussels, qui va tout nous expliquer.

Isabelle Grippa, CEO de hub.brussels
Notre guide pour découvrir Circlemade, le cluster bruxellois de l’économie circulaire

Hub.brussels, tout d’abord, c’est l’agence pour l’accompagnement des entreprises bruxelloises.

Avec ses quelque 360 Hubsters (les collaborateurs et experts de l’agence), dont 75 en poste à l’étranger, hub.brussels joue un rôle essentiel et central dans la vie économique bruxelloise. C’est bien cela, Isabelle ?
« Absolument. Depuis sa création en 2018, l’agence accompagne l’ensemble des entreprises bruxelloises tout au long de leur cycle de vie, qu’il s’agisse de Starters, de PME ou de plus grandes entreprises ».

Bien. Jusque-là, c’est clair (et pour en savoir plus, c’est ici).
Poursuivons.


L’Avant-Garde

Et, du coup, c’est quoi Circlemade, Isabelle ?
« Circlemade, c’est le nom qu’on a donné au cluster de l’économie circulaire…
Oui, mais c’est quoi un cluster ?
« Un cluster, en fait, c’est une grappe d’entreprises, généralement organisée par activité, qu’on soutient et qu’on accompagne pour pouvoir stimuler un secteur ou une thématique dans lequel la région bruxelloise doit pouvoir et veut performer.
Aujourd’hui, on a plusieurs clusters au sein de hub.brussels sur différentes thématiques. Le cluster Ecobuild, par exemple, pour stimuler la construction durable à Bruxelles… le cluster Screen pour le secteur audiovisuel…
Et Circlemade est donc notre petit dernier ».

Félicitation, hub.brussels !

Quelques-unes des entreprises du cluster Circlemade

Et dans ce cluster Circlemade, on trouve qui ? Et pour y faire quoi ?
« Nous avons créé ce cluster pour stimuler l’offre circulaire à Bruxelles en réunissant toutes les entreprises pionnières du secteur de façon à pouvoir échanger des bonnes pratiques, à former des grappes, c’est-à-dire des groupes d’entreprises qui peuvent se soutenir les unes les autres en fonction de leurs modèles et de leurs produits, mais aussi pour pouvoir les aider à grandir et à se développer, y compris à l’international ».

Intéressant…
« Oui, d‘autant que l’avantage pour ces entreprises membres du cluster adossé à hub.brussels, c’est qu’évidemment elles disposent en direct de toute la chaîne d’accompagnement que hub.brussels met à leur disposition pour qu’elles se puissent se développer ».
C’est effectivement assez limpide.


Et ça marche ?

C’est vrai que sur le papier, ça semble une bonne idée.
Mais, Isabelle, est-ce que ça marche ?  

« Il faut savoir que Circlemade, c’est encore assez récent. On a démarré il y a environ deux ans. Le PREC (Plan Régional pour l’Economie Circulaire lancé en 2016) avait déjà permis de stimuler la naissance et le développement de projets dans l’économie circulaire. Et c’est quelques mois après la création de l’agence en 2018, que le cluster Circlemade est né, pour rassembler de manière multisectorielle tous les acteurs économiques du secteur.

Au départ, c’était vraiment avec les pionniers de l’économie circulaire, une quarantaine à peu près, qui se sont regroupés pour pouvoir d’abord assurer leur visibilité. Mais aussi, rapidement,  pour constituer ensemble un interlocuteur pour le gouvernement bruxellois et enfin pour partager leurs besoins en matière de développement, fonctionner en grappes et collaborer en fonction de leurs activités ».

Une quarantaine d’entreprises… avec des activités différentes. OK.
Et vous gérez ça comment ?
« On y a réfléchi évidemment. Et, concrètement, la stratégie du cluster est gérée par un Board, composé des entrepreneurs membres du cluster eux-mêmes, avec les équipes de hub.brussels qui sont à leur service pour coordonner le dispositif et apporter tout le soutien et l’accompagnement dont ces entreprises ont besoin. On a donc cette équipe hub.brussels dédiée au cluster et qui va faire le lien avec l’ensemble des ressources de l’agence. »

 « Du coup, l’intérêt pour une entreprise d’être membre du cluster, c’est de pouvoir être visible, de faire partie d’un réseau et de pouvoir accéder à tout l’accompagnement que hub.brussels leur fournit gratuitement ». 

Isabelle Grippa, CEO de hub.brussels

Et les entrepreneurs, ils sont convaincus ?

« À sa création, le cluster comptait une quarantaine d’entreprises. Nous en sommes maintenant à 80 et on va vers 120 en 2021. Aujourd’hui, ce tissu entrepreneurial en économie circulaire est particulièrement solide à Bruxelles. Donc, oui, je crois qu’on peut le dire, ça fonctionne.
Et d’ailleurs, pour le constater, nous avons aussi ce catalogue que Circlemade a réalisé pour tous les consommateurs.
Aujourd’hui cette communauté est grandissante et elle va même accueillir les entreprises en transition ».


Parce que c’est stratégique pour Bruxelles

On a compris l’idée de créer des clusters. C’est clair, ensemble, on performe mieux.
Mais pourquoi en économie circulaire ? C’est quoi l’idée, Isabelle ?

« Le fait est qu’il y a deux ans, l’économie circulaire en était à ses tout débuts. Ce sont donc vraiment les pionniers qui ont constitué le cluster Circlemade.
Mais aujourd’hui, nous avons un gouvernement bruxellois qui porte une vision très forte sur la transition économique, sur la transformation de l’économie linéaire classique vers une économie d’impact qui a vocation à améliorer durablement la vie des citoyens eux-mêmes et notamment au niveau environnemental. Et donc d’aller vers l’économie circulaire en laissant progressivement derrière nous ce modèle linéaire classique qui était extraire, produire, consommer et jeter ».
C’est vrai qu’on en a déjà parlé (ici et , notamment). Bruxelles a vraiment choisi l’économie circulaire comme l’un des axes clefs de son projet global de développement durable. Et c’est notamment pour cela que le secteur bénéficie de cette attention particulière (et tant mieux).

C’est bien cela, Isabelle ?
« Exactement. Il y a eu un coup d’accélérateur avec ce nouveau gouvernement, élu depuis un peu plus d’un an maintenant, avec cette volonté très forte de transition économique.
Le fait est que notre ministre de tutelle, Barbara Trachte, a le portefeuille de la transition économique et donc notre rôle maintenant c’est de faire en sorte de contribuer à cette transition, de faire en sorte que ce modèle circulaire devienne à terme notre modèle économique majeur. L’économie doit vraiment servir à transformer la société, à apporter du bien-être aux citoyens ».


Au tour des consommateurs

Un secteur qui s’organise, une agence régionale qui se mobilise, un gouvernement volontariste…

Tout va bien alors, Isabelle ? C’est quoi, les prochains challenges ?
« C’est vrai que jusque-là, ça a fonctionné. Mais maintenant il nous faut travailler sur la demande. Ce qui signifie sensibiliser les Bruxelloises et les Bruxellois à consommer circulaire. C’est vraiment cela le nouveau challenge du cluster Circlemade, qui est aujourd’hui en pleine croissance. Et notre rôle, à nous les Hubsters, c’est vraiment d’appuyer cette démarche d’information et de sensibilisation ».  

Consommer ? OK.
Mais consommer quoi , Isabelle ? Et comment ?

« Il faut comprendre que, dans l’économie circulaire, on a 4 principes de base :

  1. Valoriser les déchets.
  2. Diminuer la consommation de ressources primaires.
  3. Augmenter la durée de vie des produits.
  4. Travailler davantage sur une économie de la fonctionnalité en favorisant l’usage plutôt que la propriété des biens et services.

Or, aujourd’hui le tissu d’entreprises circulaires bruxellois est en capacité de couvrir, sur base de ces 4 principes, tous les besoins des consommateurs.
Se nourrir, s’habiller, se loger, construire… pour tous ces besoins très concrets des Bruxelloises et des Bruxellois, on a aujourd’hui une offre très complète, tout ce qu’il faut pour passer à la vitesse supérieure et adopter durablement la consommation circulaire.
Et c’est à nous de faire en sorte que cela rentre vraiment dans le quotidien des gens ».  

Il faut le reconnaître, c’est assez convaincant.
Et pour savoir où trouver quoi, c’est ici.


Parties prenantes de la Transition

Il y a un Grand Objectif derrière tout cela.
Un Grand Objectif que vous, moi et nombre d’entre nous voulons atteindre.
Et ce Grand Objectif, c’est la Transition.

Oui, OK, mais la Transition vers quoi ?
En fait, c’est évident. La Transition vers un monde plus durable, moins menaçant, moins anxiogène, moins pollué et moins meurtrier pour toutes les espèces vivantes.
Un monde où travailler et consommer ne signifie plus gaspiller et jeter.

C’est bien de cela dont on parle ?  
L’économie circulaire vise bien à cela, n’est-ce pas, Isabelle ?
« Bien sûr ! Ce que nous voulons, c’est transformer l’économie et donc la finalité même de l’économie.
C’est encore très ancré dans l’esprit de beaucoup de gens de penser que l’économie sert à faire de l’argent, à produire du profit, à valoriser les actions. Mais ce n’est pas cela !
L’économie, c’est un levier de changement sociétal fondamental.
Au siècle dernier, nous pensions que le changement sociétal et le bien-être n’étaient que le fait des associations et des ONG, mais en fait, non. L’économie est un vecteur d’accélération exceptionnel de changement sociétal mais, pour cela, nous devons changer notre vision de la finalité de l’économie.
Et donc, la transition économique, c’est cela. C’est cette volonté de transformer la finalité de l’économie. Et, dans ce cadre-là, l’économie circulaire est un levier fondamental ».

« L’économie linéaire classique, productrice de déchets, doit faire partie de l’Histoire, comme les mines de charbon.
A terme, le déchet doit vraiment être un objet de musée ».

Isabelle Grippa

Alors, là, chapeau ! Impressionné, je suis.
Que la directrice générale de l’agence régionale des entreprises porte un discours aussi éclairé, inspirant et clairvoyant, j’en suis comme deux ronds de flan.


Pour être fier d’entreprendre

La suite, Isabelle ! S’il te plait !
C’est juste pour nous faire plaisir que tu dis cela, non ?
Eh bien, non. A l’écouter, on peut y croire. Vraiment.
La preuve.

« Au départ, l’idée de l’économie circulaire pouvait sembler farfelue. On pouvait croire que cela se résumait à des projets expérimentaux menés par des associations avec les habitants de certains quartiers. Mais pas du tout. Aujourd’hui, l’économie circulaire est portée par des entreprises performantes, innovantes et rentables.
J’ai notamment en tête des acteurs très connus comme Skyfarms, PermaFungi, FruitCollect ou Fruitopia dans l’alimentation, qui proposent des produits de très grande qualité gastronomique. 

Pour s’habiller, c’est pareil. On a plein de boutiques de seconde main mais aussi de création qui utilisent des matériaux réutilisables, notamment les déchets des industries textiles. Ce sont des entreprises qui ont mis en place des Business Models vraiment crédibles et qui ont pignon sur rue aujourd’hui.

Et dans la construction aussi. Ici, à Bruxelles, nous avons des success stories incroyables, comme RotorDC notamment et les membres du cluster Ecobuild, dont certaines sont des entreprises de construction basées uniquement sur la valorisation des déchets de chantier.
Donc, en réalité, on est déjà dans cette autre logique. Et ça va vite, et tant mieux ».

Une fois de plus, Isabelle, on est bien d’accord.
N’est-ce pas, chères lectrices et chers lecteurs ?


Du coup, on y va ?

L’entreprenariat durable, c’est son truc à Isabelle, on l’aura compris.
C’est même un peu son métier en fait.

Du coup, Isabelle, pour les centaines de millions de personnes qui nous lisent à travers la galaxie, quels sont tes conseils pour se lancer ? Et pour faire quoi ?

« Il y a d’énormes possibilités d’activités circulaires ici à Bruxelles, notamment par exemple, dans l’électronique où les potentialités sont immenses pour développer la réutilisation et le recyclage du matériel. Il y a aussi d’autres opportunités, parfois très originales. Je pense notamment à la récupération des cheveux qui constituent un matériau très précieux, pour le filtrage par exemple, et qui permettent de travailler avec les coiffeurs bruxellois.
C’est aussi tout l’intérêt de travailler en cluster quand on est dans l’économie circulaire. On a ainsi des vraies grappes d’entreprises qui travaillent ensemble. Les déchets des unes deviennent les matériaux des autres., et inversement. C’est ainsi que l’on créé des filières innovantes, performantes et dynamiques ».


Et maintenant la méthode  

Ça, c’était pour le quoi. Et maintenant le comment.
Isabelle, ton conseil ?

« La clef, pour se lancer, c’est tout d’abord de se faire accompagner. Pour ceux qui se lancent, mais aussi pour celles et ceux qui veulent faire évoluer leur activité, se transformer.  Et c’est aussi vrai pour celles et ceux dont l’activité fonctionne bien.
Parce que l’autre point important, c’est l’adaptation et l’anticipation. L’économie va très vite aujourd’hui, les tendances évoluent rapidement. Il faut toujours savoir se remettre en cause, se préparer au changement pour pouvoir adapter son business model. Et donc, vraiment, quelle que soit la maturité de votre idée, de votre projet ou de votre activité, l’accompagnement est la clef ».

Personnellement, j’en suis absolument convaincu.
Mais c’est vrai que la période est compliquée.
Est-ce que c’est le bon moment ?

« Le fait est qu’on a énormément de chance en région bruxelloise parce que le gouvernement investit massivement dans cet accompagnement des entreprises. On a hub.brussels bien sûr, mais aussi de très nombreux autres partenaires comme les guichets d’économie locale, des partenaires pour le financement et l’hébergement de projets. En fait, on a un écosystème d’accompagnement à Bruxelles qui est très dense et très performant. Et qui est aussi gratuit. Donc vraiment, il faut en profiter.
Et c’est particulièrement vrai dans le secteur de l’économie circulaire où on a mis en place des programmes très spécifiques. Y compris pour les entreprises existantes qui souhaitent s’engager dans ce modèle et amorcer leur transformation ».


Une Cité d’entrepreneurs exemplaires

Enthousiastes et séduits, nous avons voulu en savoir plus.
Du coup, Isabelle, une vision d’avenir ?

Comment vois-tu Bruxelles dans 5 à 10 ans ?

« Eh bien, tout d’abord, on a devant nous plusieurs échéances très concrètes. La déclaration de politique régionale, qui fixe le projet politique du nouveau gouvernement, se donne un objectif clair : dans l’avenir, ne seront soutenus par les pouvoirs publics que les entreprises exemplaires.
Cet engagement, s’il a pu faire peur à certains, ne définit en réalité qu’un objectif ambitieux et très positif qui est de se dire que, dès 2030, on n’aura que des entreprises exemplaires.
Alors, qu’est-ce qu’une entreprise exemplaire ? ».

Justement, Isabelle, on se pose la question.
« C’est très simple, une entreprise exemplaire, c’est une entreprise qui répond positivement aux enjeux de changement des paradigmes de l’économie que nous avons évoqués, une entreprise qui a vocation à impacter positivement la société, par exemple dans la façon dont elle démocratise son fonctionnement pour faire en sorte que ses travailleurs soient parties prenantes du projet d’entreprise.
Ça peut être aussi le fait qu’elle se soit engagée sur la voie de la transformation pour tendre vers une logique zéro déchet et dans une démarche de circularité.
Ça peut être également de générer un impact sociétal positif important par ses activités. Je pense notamment aux entreprises bruxelloises actives dans le domaine de la prévention médicale, par exemple, comme celles que nous avons au sein de notre cluster LifeTech, qui travaillent sur ces thématiques pour pouvoir apporter des soins de santé de qualité aux Bruxellois.
Vous l’avez compris, notre vision, c’est donc de faire en sorte que, dès 2030, l’économie bruxelloise et donc les entreprises qui en sont les acteurs, puissent œuvrer pour ce bien-être des Bruxelloises et des Bruxellois ».


En mesurant le bien-être

On voudrait en être, c’est vrai.
Mais, Isabelle, comment sait-on qu’on avance dans cette direction ?
Comment fera-t-on pour évaluer ces entreprises qui œuvrent pour le bien-être des Bruxelloises et des Bruxellois ?

«  A cet égard, notre vision s’accompagne aussi d’une véritable transformation de la mesure de performance de l’économie. Aujourd’hui, on mesure cette performance par le PIB (Produit Intérieur Brut), mais effectivement, le recours à ce PIB comme indicateur est un combat d’arrière-garde ».

« Aujourd’hui, l’efficacité de l’économie doit être mesurée au regard de nouveaux standards, et en particulier le bien-être des habitants ».

Isabelle Grippa

Bruxelles, Bruxelles ! Lalalala !

C’est vrai que c’est bon, que ça fait chaud au cœur d’entendre de telles prises de positions.
Enthousiasmantes et inspirantes, et avec ce soupçon de réalisme qui nous fait penser que ça peut vraiment marcher.

Alors, Isabelle, Bruxelles au top ?

« Et donc, voilà, c’est effectivement une ambition très forte du gouvernement, une ambition innovante, et même véritablement pionnière en Europe et qui est évidemment portée par hub.brussels et tous ses Hubsters.
Grâce à nos représentations dans le monde entier, nous sommes en contact avec les grandes tendances du monde économique, notamment avec ce qui se passe dans les pays scandinaves qui sont très inspirants à cet égard.
Et le fait est qu’aujourd’hui Bruxelles fait véritablement office de pôle d’innovation en matière d’entreprenariat social et environnemental en Europe. Et, en plus, ça nous offre une visibilité internationale et une attractivité très importantes ».

Du coup, je crois qu’on peut être fier de ça.
On n’y est sans doute pas encore, mais en tout cas, le moins qu’on puisse dire, c’est que le cap est clair et l’équipage est motivé.


Un petit mot pour vous

Pour conclure ce très chouette échange avec Isabelle Grippa, nous lui avons demandé son petit mot pour vous, chères lectrices et chers lecteurs de notre magazine.  Et le voici :

« Cette année 2021 ne pourra être que mieux !
Et j’espère de tout cœur que cette crise que nous avons vécue sera une opportunité pour accélérer cette transition économique que nous voulons tous.
Bonne année à toutes et à tous ! ».

Bonne année, Isabelle !
Et bonne année à tous les Hubsters et à toutes les Bruxelloises et tous les Bruxellois !

Ensemble, en route alors vers la Transition !


Crédit photos : Reporters


Cet article est sous Licence Creative Commons.
Vous êtes libre de le réutiliser (en mentionnant l’auteur – BY) mais pas pour un usage commercial (NC) et pour le partager dans les mêmes conditions (SA).
All about Creative Commons